Florence K a vécu une enfance de saltimbanque. Elle baigne dans la musique et les tournées. Dans Buena vida, elle livre un récit rempli d'humanité, de musique, de voyages, et dévoile une partie de son existence qu'elle surnomme « l'abysse ». Sa vingtaine a été parsemée de grandes joies, entre le bonheur de la maternité et celui d'avoir réussi à faire de la musique son gagne-pain. Mais Florence est aussi passée par un trou noir qui a bien failli l'engloutir et duquel elle est sortie encore plus amoureuse de la vie.
« Un trouble de santé mentale impose souvent le travail d'une vie, soit un profond apprentissage de soi, de sa maladie et de la maîtrise de celle-ci. Pour arriver un jour à valser avec son état et à mener la danse. » Nueva vida, c'est le récit d'un cheminement vers une nouvelle vie. C'est la preuve que, comme les chats, on peut retomber sur ses pattes neuf fois, sinon plus. Après la parution de Buena vida, alors que tout devrait bien aller, Florence K sent encore le trou noir qui la guette.